A l’occasion de son colloque annuel, organisé le 3 octobre 2019 au Ministère de la Transition écologique et solidaire et en parallèle des débats parlementaires sur le projet de loi anti-gaspillage pour une économie circulaire, le Club de la durabilité, réseau des entreprises volontaires pour allonger la durée de vie des produits, animé par l’association HOP, a dévoilé un rapport inédit: « Economie circulaire : comment démocratiser l’offre de produits durables et réparables ? ».

Les produits durables sont-ils trop chers ? comment faire de la réparation un réflexe pour le plus grand nombre ? La consommation durable est-elle un mirage ou une réalité ?

Autant de questions complexes auxquelles tentent de répondre les auteurs de ce rapport sur l’économie circulaire.  Face à l’obsolescence programmée, plus d’une vingtaine d’entreprises participent à développer la connaissance autour des modèles économiques plus durables, aux côtés de l’association HOP, dans une démarche constructive.

Entreprises, décideurs publics comme consommateurs sont de plus en plus nombreux à prendre conscience des intérêts économiques, sociaux et environnementaux des produits plus durables et réparables. Les alternatives se développent : achat de produits durables ou de seconde main, réparation ou encore économie de fonctionnalité. Mais le passage à l’action reste encore le fait d’une minorité, certes croissante, dans une société marquée par le prêt-à-jeter.

Ayant analysé les freins principaux au déploiement d’une consommation plus durable, le rapport formule 31 propositions pour développer, notamment, une culture accrue de la durabilité ainsi qu’une offre de biens fiables et de services de réparation plus transparente et accessible.

 

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